Nous quittons Bâle sans attendre, car nous avons rdv avec les parents de Karin dans un resto pour des retrouvailles importantes bien que très courtes.
Nous récupérons des skis et quelques petits cadeaux obligatoires pour notre séjour hélvétique puis reprenons la route vers Lenk.
Maïlys n'est pas bavarde, timidité oblige. L'anglais est imposé, mais la pauvre a du mal, et personne ne lui en veut. Elle est souriante, adorable, et son parain est aux anges.
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